Les subtilités de SUDO

Sous Ubuntu, il n’est pas nativement possible de se connecter directement avec le compte root. Il faut se connecter sur un compte utilisateur puis passer par SUDO. On tape sudo nom de la commande, et la commande est exécutée avec les droits root. Mais sudo dispose d’options souvent méconnues et qui peuvent pourtant être bien utiles. En voici un petit panel.

sudo -k

termine une session sudo éventuellement ouverte, cela assure que la prochaine instruction sudo demandera le mot de passe.

sudo -s

Ouvre le shell spécifié dans /etc/passwd pour l’utilisateur cible (root par défaut).

sudo -i

Ouvre le shell et importe l’environnement utilisateur (root par défaut).

sudo -E

Préserve l’environnement du shell depuis lequel la commande est lancée.

sudo -u foo

Lance la commande en tant qu’utilisateur foo.

sudo -g bar

Lance la commande avec le groupe bar (le groupe spécifié est le groupe primaire de l’utilisateur cible indiqué dans /etc/passwd).

sudo -i -u foo

Permet de se loguer en tant que l’utilisateur foo (ne pas utiliser ces options pour root).

 

Il peut également être utile d’activer le compte root.

sudo passwd root

Ou de désactiver le compte root.

sudo usermod -p '!' root

Exchange 2010 : Connaitre la version Exchange et le Rollup installés

Connaitre la version exacte et le dernier « Rollup » d’Exchange 2010 n’est pas simple. Voici donc pour mémoire les commandes à utiliser.

Pour afficher le « Rollup » appliqué à Microsoft Exchange 2010, entrer la commande suivante dans l’Exchange Management Shell:

GCM exsetup |%{$_.Fileversioninfo}

Pour afficher les versions de Microsoft Exchange de tous les serveurs Exchange de l’organisation:

Get-ExchangeServer | Format-Table Name, *Version*

Le tableau référençant les différentes versions de Microsoft Exchange est disponible ici.

Restaurer une base de données GLPI

J’ai dû déplacer plusieurs instances de GLPI. Entendez par là déplacer les fichiers et les bases de données GLPI d’un serveur à une autre. Cette opération ne pose pas de difficultés particulières, si ce n’est qu’à l’arrivé, les caractères accentués apparaissent mal. Voici la procédure a appliquer pour restaurer la base de données GLPI en conservant le bon encodage.

Créer la base de données en forçant l’encodage en UTF8, puis créer un utilisateur MySQL et lui donner tous les droits sur la base de données.

# create database databasename character set utf8;
# grant all privileges on databasename.* to 'user'@'localhost' identified 
by 'P@ssw0rd';

Importer la sauvegarde SQL de GLPI dans la base de données.

# mysql -u root -pP@ssw0rd --default-character-set=utf8 database < backup.sql

 

XBMC: Activer les touches numériques sous RaspBMC avec une télécomande MCE

J’ai eu une petite surprise lors de l’utilisation de mon RaspBMC. Le « media center » est un Raspberry Pi exécutant RaspBMC commandé par une télécommande MCE (HP) par le biais d’un récepteur Infrarouge IR605Q.

récepteur-infrarouge-ir605q

z556_remote

 

 

Le problème est que les touches numériques ne sont pas reconnues, rendant impossible l’accès direct à une position dans un média (ex: aller à 1:15:00 directement dans un film) ou la recherche des médias en utilisant les lettres liées aux touches numériques. Cela est dû au fait que la télécommande n’est pas reconnu comme « mceusb », et les touches ne sont pas correctement nommées dans les fichiers de configuration XBMC.

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XBMC: Synchroniser les jaquettes entre plusieurs XBMC avec Unison

unison_logoMes media center xbmc ont leurs librairies synchronisées sur une base de données MySQL. Cependant, les « Thumbnails » (images des jaquettes de films, Albums de musique, acteurs…) sont stockées localement sur chaque pc xbmc. Une option « pathsubstitution » permet de stocker ces images à un autre endroit, tel qu’un partage réseau, mais les performances sont bien amoindries lorsque la librairie est conséquente. Etant donné que les fichiers multimédias et la base de données MySQL sont déjà stockés sur un serveur GNU/Linux, l’idée est de créer un repository sur ce serveur, et synchroniser chaque xbmc avec ce dernier. Les différents media centers seront ainsi à jour, et les images seront toujours stockées localement sur chacun d’eux.

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GNU/Linux: Synchroniser des répertoires en P2P avec BitTorrent Sync

logo-bittorrent-sync BitTorrent Labs a développé et expérimente un client de synchronisation de répertoires utilisant les technologies Peer-to-peer. Ce client est disponible pour Windows, Mac OS et GNU/Linux. Si l’installation pour les 2 première plateforme ne pose pas de difficulté particulière, l’installation sous GNU/Linux est un peu moins trivial. Les informations importantes et les liens de téléchargements du client sons disponibles à cette adresse: http://labs.bittorrent.com/experiments/sync/get-started.html

A la rédaction de ces quelques lignes, le client est en version alpha (1.0.116), mais il fait d’ores et déjà très bien son travail.

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GNU/Linux: Remonter une partion read only en read/write

Certaine partition GNU/Linux sont parfois montée en lecture seule. Par exemple, c’est cas de la partition système de l’OS orienté media center « OpenElec ».Dans mon cas, un serveur d’entreprise hébergeant une base Oracle a redémarré (volontairement s’entend) alors que les volumes iscsi configurés dans le fstab n’étaient pas joignables. Résultat, le serveur a redémarré sans les volume, avec une partition système en lecture seule. Impossible donc de modifier le fstab.Pour s’en sortir, il y’a juste une petite commande à lancer permettant de remonter la partition en écriture.

mount -o remount,rw /partition/identifier /mount/point

ex:

mount -o remount,rw /dev/mapper/vg_server-lv_root /

Aide-mémoire : VMWare vSphere client

Le client permettant la configuration et l’administration de solution de virtualisation VMWare vCenter disposent de paramètres en ligne de commande, mais l’aide concernant les différent paramètre est difficile à trouver. Voici donc la liste des paramètres les plus utiles.

L’éxecutable: VpxClient.exe

Les paramètres:

– s <URL_vCenter> : URL du vCenter ou de l’ESX à administrer.

-u <user> : utilisateur

-p <password> : mot de passe

– locale <lang> : lancer l’interface dans la langue sélectionnée (en_US pour la langue anglaise)

– passthroughAuth : utiliser les informations d’identifications de la session Windows

-i : ignore le certificat auto-signé

 

Intégrer VMWare vSphere Client dans KeePass

KeePass est un gestionnaire de mot de passe libre.

Une fonction je pense méconnu de KeePass est de permettre le l’éxecution de commandes selon un schéma prédéterminé. Cela est très pratique pour lancer directement une application avec les bons paramètres, et entrer les logins/mots de passe automatiquement, tout cela en cliquant uniquement sur un lien dans l’interface KeePass.

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Mon pense-bête informatique